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angie
BOn je continue sur ma lancée lol, parceque je toruve cette histoire particulièrement intéressante. Pis le fait que ce soit les indigènes qui décrivent la bête ça rend le récit un peu plus crédible, je vois pas l'intérêt des Pygmées d'inventer un tel récit ou de constituer de fausses preuves, la plupart n'ayant jamais eu un contact avec des occidentaux. Après comme dit plus haut, c'est peut-être une nouvelle espèce animale, je parie que de nouvelles espèces sont découvertes chaques années sans qu'on le sache.

Donc 'jai trouvé quelques témoignages et quelques preuves, je vous les met ici, je cite mes sources lol :http://perso.wanadoo.fr/cryptozoo/vedettes/mokele.htm (en espérant que cette fois ci ils me laissent utilisé une image de leur site et qu'elle soit pas retenue en otage lol )

1) Quelques témoignages

En 1913-1914, le baron Von Stein zu Lausnitz entendit parler d'une étrange créature dans le Cameroun allemand de l'époque (aujourd'hui le nord du Congo Brazzaville), appelée mokele-mbembe :
"La créature doit se retirer de préférence au sein des cavernes innombrables, creusées sous la surface de l'eau, dans les berges argileuses. Même en plein jour, il lui arrive cependant de grimper sur la rive pour aller y chercher sa nourriture strictement végétale -- trait incompatible avec l'idée selon laquelle il s'agirait d'une légende ! La plante favorite de la bête serait une sorte de liane riveraine à grandes fleurs blanches, qui sécrète un latex capable de fournir du caoutchouc et donne des fruits ressemblant à des pommes. Au bas du Ssômbo, on m'a même montré, à proximité d'un amas de plantes de cette sorte, la prodigieuse trouée que l'animal avait frayée dans l'épais taillis bordant la rivière, afin d'atteindre cette nourriture. [...]
"L'animal aurait la peau lisse et de couleur gris-brun. Sa taille serait à peu près celle de l'éléphant, celle au moins de l'hippopotame en tout cas. Il semble avoir un long cou flexible et une dent unique, mais très longue, qu'on décrit parfois comme une corne. Quelques-uns parlent aussi d'une très longue queue, aussi puissante que celles des crocodiles. Les pirogues qui s'approchent de la bête seraient attaquées sur-le-champ et renversées, et les occupants en seraient tués, mais non dévorés." (tiré de Bölsche 1929).

En 1924, le naturaliste anglais John G. Millais recueillit un rapport semblable, datant de la fin du dix-neuvième siècle, sur l'isiququmadevu du sud-ouest de la Zambie actuelle :
"[...] feu le roi Lewanika, qui s'intéressait vivement à l'étude de la faune de son royaume, le Barotseland, avait souvent entendu ses sujets parler d'un grand reptile aquatique, au corps plus gros que celui d'un éléphant, et qui vivait dans les grands marais à proximité de sa ville. [...] L'année suivante, trois hommes se ruèrent, un jour, très excités, dans sa salle d'audience, et ils racontèrent qu'ils venaient de voir le monstre gisant au bord du marais : à leur vue, il avait battu en retraite en se laissant glisser sur le ventre dans l'eau profonde. Ils dirent que la bête était d'une taille colossale, avec des pattes comme celles d'un lézard géant, et un long cou. Elle était, ajoutèrent-ils, plus haute qu'un homme et possédait une tête de serpent.
"Lewanika se rendit sur-le-champ à l'endroit indiqué et constata que, sur une grande étendue, les roseaux avaient été aplatis, et que, de là, un large sentier avait été frayé jusqu'au bord du marais : de l'eau ruisselait encore dans la boue remuée peu auparvant.
" [...] le roi décrivit la piste produite par le corps du monstre présumé comme "aussi large qu'un grand wagon dont on aurait enlevé les roues." (tiré de Millais 1924).

En 1977, Daniel Mambombo, professeur d'école à Epéna (nord du Congo), vit surgir de la Likouala-aux-Herbes un étrange animal. Il identifia spontanément avec une représentation de brontosaure tirée d'un ouvrage sur la préhistoire que lui montra l'herpétologue américain James Powell :
"L'animal était gris. Son cou était aussi gros que la jambe d'un homme. La tête et la gueule étaient comme celles du brontosaure dans le livre. Il vit une partie du corps, de sorte que ce pouvait pas être un serpent. Le cou devenait beaucoup plus épais là où il rejoignait le corps." (tiré de Powell 1981)

2) Analyse cryptozoologique

Depuis le début du vingtième siècle, on signale au coeur de l'Afrique tropicale un animal décrit ainsi : une petite tête comparée à celle d'un serpent, un long cou comme celui d'un serpent, un corps de la taille d'un éléphant de forêt ou d'un hippopotame, quatre pattes comme des piliers et une queue comparée à celle d'un serpent ou d'un crocodile. La longueur totale est de 8 à 10 mètres.

le mokele-mbembe (dessin Stefano Maugeri, Gruppo Criptozoologia Italia).


L'animal, appelé mokele-mbembe dans le nord du Congo, et nyamala au Gabon, est réputé dangereux par sa force (il peut renverser une pirogue d'un coup de queue), mais exclusivement herbivore : les témoins (notamment des Pygmées dont certains n'avaient encore jamais vu d'Occidental) montrent au Congo comme au Gabon le végétal qu'affectionne l'animal, le malombo (Landolphia). L'animal habite dans la forêt tropicale humide et semble de moeurs plus ou moins aquatiques.

On ne peut manquer d'être frappé par la ressemblance de cet animal avec les dinosaures du sous-ordre des sauropodes (brontosaure, diplodocus, apatosaure et autres), supposés disparus à la fin du jurassique, il y a 65 millions d'années. La survivance de l'un d'entre eux en Afrique n'a rien de géologiquement impossible, puisque des cas similaires de "fossiles vivants" sont connus (entre autres le coelacanthe, pour ne mentionner que celui-là).

3) Indices matériels

Des poids Ashanti (Afrique de l'ouest) servant à peser l'or, semblent représenter un dinosaure sauropode.

poids en or Ashanti.


L'expédition Roy P. Mackal au Congo (1980) a photographié une piste montrant le passage d'un animal de moeurs aquatiques (elle part de la rivière pour y revenir), de près de deux mètres de haut, et traînant apparemment une lourde queue derrière lui... (j'essaye de vous trouevr la photo)

alors avant que je continue ems recherches et essaye de monter un dossier intéressant, dites moi si au moins ça vous intéresse lol mici!
angie
Késako? Moi non plus je connaissais pas lol c'est bien d'ailleurs pour ça que je vous le met!!! alors je l'ai encore piqué au site http://www.mythes-et-legendes.net/ (promis c'est la dernière fois, pas tapé ! lol)

" LE MOKELE MBEMBE

Cette étrange créature mesure 8 à 10 mètres et possède un long cou de girafe. Elle vit au Congo où très peu d'hommes se sont aventuré à part les Pygmées. On pourrait la comparer à un dinosaure. Alors le mokele mbêmbe est-il un survivant du monde de la préhistoire ou une figure de l'imaginaire moderne ?


Dans cette région mal connue vivent de nombreux animaux comme les éléphants, les buffles, les chimpanzés, et beaucoup d'autres espèces de singes. La tradition locale raconte que, au fond du marécage, vivrait le mokele mbêmbe (" celui qui arrête le cours des rivières "), un énorme animal dont l'existence hypothétique a d'autant plus stimulé l'imagination des voyageurs occidentaux que sa description par les indigènes évoque celle d'un dinosaure. Avait-on affaire à un " fossile vivant " ? Comme l'écrit Armand de Ricqlès " il existe souvent un laps de temps de plusieurs millions d'années entre le dernier représentant d'un groupe connu à l'état fossile et son représentant actuel, si bien que ce groupe, tenu pour disparu, semble surgir brusquement du passé. " La première fois que l'on a parlé du mokele mbêmbe ce fut en 1776 lorsque des missionnaires français, découvrirent de mystérieuses empreintes. Mais d'autres explorateurs vinrent apporter des éléments supplémentaires ; ainsi, à la fin du XIXe siècle, Alfred A. Smith, recueillit au Gabon des récits du même type. Carl Hagenbeck, un collectionneur allemand, en avait également entendu deux en Rhodésie. En 1913, le capitaine Freiher von Stein, un officier de l'armée allemande, s'aventura dans la région du Likouala, qui faisait alors partie de la colonie allemande du Cameroun et qu'il avait reçu ordre d'explorer. Là aussi, les indigènes lui racontèrent qu'ils avaient vu un énorme animal amphibie qu'ils appelaient le mokele mbêmbe ; ses campagnes d'exploration furent interrompues par la Première Guerre mondiale et ce n'est qu'en 1948 que fut traduit et publié son rapport d'expédition. En réalité, c'est seulement après la guerre que l'existence hypothétique du mokele mbêmbe fut connue du public.

Mesurant, entre 5 et 7 mètres de long, le mokele mbêmbe a fait l'objet de nombreuses spéculations concernant son corps d'éléphant, la finesse et la longueur de son cou et sa petite tête de reptile - une description qui correspond tout à fait à celle d'un petit dinosaure sauropode. Le problème, c'est que tous les dinosaures - à l'exception peut-être des groupes qui ont évolué vers les oiseaux modernes - sont supposés avoir disparu il y a environ soixante-cinq millions d'années, à la fin du crétacé. Pourtant, la thèse d'un dinosaure survivant est très populaire ; ce qui n'est pas surprenant quand on sait l'immense fascination qu'exercent ces animaux préhistoriques sur le public. Aujourd'hui, on peut voir des dinosaures un peu partout, dans les livres, au cinéma ou à la télévision. Et la découverte de n'importe quelle nouvelle espèce de dinosaure déclencherait une émeute.


Empreinte de la bête ?!

En 1970, l'explorateur James Powell procéda à une étude des récits concernant le mokele au Gabon. Chose surprenante, lorsqu'il montra aux indigènes des illustrations d'animaux divers, c'est celle d'un dinosaure tel le brontosaure qu'ils considérèrent comme étant le plus proche du mokele mbêmbe. James Powell s'associa alors au biochimiste Roy Mackal, de l'Université de Chicago, pour aller explorer les marécages de Likouala. Ils découvrirent que les indigènes y évoquaient eux aussi un animal similaire, qu'ils appelaient aussi le mokele mbêmbe. Cette découverte mena, au début des années 80, à une expédition plus importante, conduite par Mackal.

Cette expédition a d'abord atteint la rivière Lakouala-aux-Herbes, a continué vers le sud puis est remontée par la rivière Bai vers le Nord, là où l'homme blanc n'avait jamais mis les pieds. Ils s'enfoncèrent dans la forêt tropicale et, à l'aide d'un sonar, sondèrent les trous de la Bai où le mokele mbêmbe était censé se trouver. A cet endroit, ils firent deux observations : la végétation alentour était passablement endommagée et d'étranges empreintes de pas apparaissaient au sol ; ensuite ils aperçurent un large sillage provoqué par la plongée d'un gros animal. Pouvait-il s'agir d'un mokele mbêmbe qui aurait été alerté par le bruit ? Les assistants de la région ne voulurent pas les suivre plus au devant de leur parcours, mais de toute manière ils ne purent continuer à cause de la détérioration du climat.

Le seul témoignage oculaire que l'on puisse prendre au sérieux est celui du zoologiste congolais Marcellin Agnagna. En 1983, il affirme avoir observé, dans le lac Tele, un gros animal avec un long cou, qu'il a approché à moins de 250 mètres avant de le voir plonger. La créature ne ressemblait à aucun animal connu en Afrique.


En définitive, deux questions demeurent : le mokele mbêmbe existe-t-il vraiment ? Et si oui, à quelle espèce animale peut-il appartenir ? Ceux qui contestent l'existence de grands animaux inconnus invoquent souvent leur permanence dans les récits mythologiques : c'est le cas par exemple du monstre du loch Ness. Même si ces affirmations ne sont pas insensées, elles ne reposent sur aucune démonstration scientifique. De plus, il est fréquent que des animaux, aujourd'hui bien connus, aient par le passé appartenu au folklore, comme le gorille. Le fait donc que toute une mythologie entoure sans aucun doute le mokele mbêmbe ne constitue pas un véritable argument pour ou contre son existence en tant qu'espèce biologique. Mais si le mokele mbêmbe existe, quelle sorte d'animal est-il ? L'hypothèse la plus attrayante, invoque l'existence d'une population réduite de dinosaures sauropodes qui aurait survécu. Mais comment de tels animaux auraient-ils pu échapper à l'exploration zoologique, même dans l'immensité des marécages du Likouala ? Si tel était le cas, les restes fossilisés de leurs ancêtres auraient eux-mêmes échappé à l'exploration paléontologique. Certes, on pourrait expliquer cette absence de fossiles par le manque de chance ou par le fait que les sites de fouilles à la recherche des dinosaures se trouvent en Afrique du nord, de l'Est et du Sud, mais pas en Afrique centrale. En effet, les paléontologues préfèrent effectuer leurs fouilles là où ils peuvent bénéficier de l'appui logistique des institutions locales ; or l'Afrique centrale, très pauvre et politiquement instable, ne peut leur fournir cela ; il y a, en conséquence, un vide sur la carte des sites. Concernant cette région, on ne peut donc qu'extrapoler à partir de ce que l'on sait du reste de l'Afrique, mais sans savoir si des dinosaures ont vécu dans cette partie du continent ni s'ils en ont disparu. Il est indéniable que la forêt congolaise est restée presque intacte depuis le crétacé ; elle n'a jamais connu de très grand bouleversement géologique. Rien n'interdit donc de penser que des dinosaures sauropodes, qui auraient survécu à la grande extinction du crétacé, aient " suivi " la forêt, y soient restés cachés et n'aient que fort peu évolué. Si cette éventualité ne contredit aucune des lois de l'évolution, elle reste tout de même très spéculative.

Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le mokele mbêmbe, sans être un dinosaure, pourrait être une espèce inconnue de gros lézards, tels les varans. Le plus grand varan vivant est le dragon de Komodo, qui vit en Indonésie et mesure 3 à 4 mètres de long ; pourrait-il en exister une espèce encore plus grande dans les marécages du Likouala ? Cette hypothèse semble susciter beaucoup plus d'intérêt chez les zoologistes que celle d'un dinosaure car un varan géant, le Megalamia, a vécu en Australie au pléistocène. "

n'empêche vous imaginez qu'en Afrique centrale se joue peut-être un remake de "Jurassik park"? lool

Message édité le 17-01-2005 à 14:14:06 par angie
 
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